<- partie 3
...
Les
claques, les apprécier, remercier, encore soumise a envie de crier,
oui encore. Mais que veut-Elle introduire Lady dans le cul trop serré
de soumise? Léger raidissement d’inquiétude, mais Lady sait
faire, soumise ne comprend rien, elle n’a pas à comprendre elle
sait que son cul est à Lady. Apparemment d’ailleurs elle s’ouvre
cette salope. Il faut bien l’enfiler, la baiser, la mettre, je suis
une telle chienne, il va falloir le dilater ce cul que Vous puissiez
Lady en user à loisir selon Votre bon vouloir. Une chienne et une
salope, confirmée donc, pas à faire la mijaurée, tu sais bien que
si on te caresse le cul tu serais prête à t’offrir au premier
venu. Ça a toujours été ainsi. Juste besoin que l’on s’y
prenne avec douceur pour apprivoiser ce trou du cul rétif, ce qui a
toujours emmerdé soumise d’être aussi trouillarde du cul. À
moins que ce soit pour inciter à ce qu’on la prenne, une dernière
ruse histoire de pouvoir dire : je suis vierge du cul. Plus tout
à fait Lady a placé quelque chose, Elle sait Lady qu’il faut y
aller progressivement et que la chienne finira par supplier qu’on
la lui mette bien profond et large. Sucer, oui mais si je montre
l’envie de sucer qui me prend, avec ma langue qui vient lécher,
oui aspirer bien sûr on est une vraie pompe dans ces cas-là, soumis
le sait bien, un reste de pudeur, une excentricité de salope
destinée à faire semblant de tromper son monde pour exciter le
désir de la Chasseuse. Oui Lady, mon cul, dilatez-le soumis en
mouille tellement, elle sent couler, ça va tâcher par terre, c’est
innommable, tortilles du cul, offres-le tu sais que tu n’as pas le
choix, tu fais ta mijaurée alors que tu aimes tant qu’on te palpe,
qu’on te culbute, bonne à baiser un point c’est tout, et tu en
redemandes, comme une fille des rues, une bonne que l’on
trousserait à la cave, qu’on ferait tourner entre potes, dépravée
et souillée, qui sucerait aussi bien sûr, elle ne peut pas s’en
empêcher la soumise, elle aime ça.
Attachée
là à cette porte – des plaisirs – d’un enfer parfait – y
rester des heures, crier, gémir, tortiller, femelle jusqu’au bout
de ces petits tétons. La main qui touche la queue. Toute perdue,
c’est moi ça, oui apprenez-moi Lady à onduler des hanches je n’ai
jamais été qu’une femelle contrariée qui avait la trouille de
vivre son destin et d’accomplir sa nature.
Sans
doute pas assez libérée, Lady est-elle contente, satisfaite ?
Crainte d’être trop vulgaire, dépravée, soumise, fille facile,
fille de joie, pute à soldats puant le sperme. Qu’est ce qui Vous
excite Lady, Vous ferait plaisir ? Faites de soumis le jouet,
l’objet, la chienne qui Vous apporte ce que Vous exigez.
Asservissez-moi
je suis faite pour ça. Vissez ! Humour maladroit d’un soumis.
Lady
me détache, soumis devrait poser la question : êtes-Vous
satisfaite ? Silencieuse reste soumis, son défaut il a peur
d’avoir déçu, entre les deux termes : est-il allé trop loin
à exhiber sa nature de salope, alors que soumis sait lui-même que
ce n’est qu’un début, il sait qu’il est encore plus salope que
ça, ou l’autre terme justement pas allée assez loin, pas assez
libérée, trop cul serré. Donc silence prudent agenouillé pendant
que Lady fume une cigarette. Et soumis voit la tenue de Lady. Ça
prend du temps à soumis tout ça, le regard, la voix, le décor de
la pièce, et maintenant, le pantalon, chaussures cloutées, le gilet
(corset ?). Pas le temps de s’appesantir, masser les pieds.
Doucement, ici précisément pas ailleurs. Beaux pieds. Mode
soubrette, soulager Lady, faire exactement ce qu’Elle demande.
Agenouillée, le collier avec la laisse.
L’heure
a tourné. Deux heures ? Plus ? Rhabillage. Aller chercher
une course pour Lady. Normalité banale. Avancer dans la servitude.
Dehors il fait beau. Ramener la course, frapper au carreau. Écouter
des dernières instructions. Avec cette erreur grossière, soumise
retire le collier, c’était avant d’aller faire la course. La
punition a été annoncée ce matin, coups de cravaches durs parce
que le collier est celui de Lady, on ne choisit pas de l’enlever
encore moins quand on est qu’un soumis. Il faut être puni Lady
doit être intransigeante, et sévère, ne rien laisser passer à
soumis sinon sa nature indolente viendrait contrarier le dressage de
soumis.
Retour
chez lui de soumis après une soirée avec des amis. Pas sommeil. Ce
premier moment à raconter, les règles, pas de doute je suis bien un
soumis.
FIN
On ne pouvait pas faire plus parfait comme première présentation. J'envie Patou d'avoir eu l'honneur de servir et de se soumettre à Lady Agnès avec toujours en tête ce sentiment de déception de ne pas avoir été à la hauteur pour toujours faire mieux
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