Clara a retrouvé ses esprits. Je l’autorise à venir fumer une cigarette avec moi sur le pas de ma « courette ».
Alors que moi je reste sur le pas de la porte, elle va s’y pavaner. Déjà la dernière fois, elle m’a fait le coup. Elle m’avait alors demandé si j’avais des voisins. Sur les étages au-dessus, il y a deux fenêtres d’appartement et celles de la cage d’escalier. Mais cela ne la dissuade pas, au contraire même. Elle esquisse un sourire faussement intimidé. Je vois dans son regard qu’elle est excitée à l’idée d’être aperçue.
Pour ma part, je me moque bien de ce que pensent mes voisins (il n’y a pas d’enfants dans mon immeuble). Et puis, vu le peu de lumière, tout ce qu’ils risquent de deviner c’est une femme aux cheveux longs blonds et d’autant plus grande qu’elle est perchée sur des talons aiguilles… Bien sur, ce soir, la tenue est des plus légères et ils risqueraient de voir un appendice incongru se balader sous la ligne noire du corset. Rien que d’y penser, j’imagine leur tête et celle de Clara si une fenêtre s’ouvrait, cela m’amuse…
Et puis cette excitation intérieure qu’elle ressent met Clara dans l'état d’esprit que j’aime chez mes « soumises », entre vierge effarouchée et chienne provocante. Sans doute a-t-elle fait le plein de sensations, car elle revient près de moi.
Je ne résiste jamais à un petit cul rebondi, c’est comme ça il faut que je le touche. Je commence donc à le caresser, à le peloter pendant que je termine ma cigarette. Elle se cambre, d’abord sans s’en rendre compte, imperceptiblement, comme un acte manqué puis, comme ma main se fait insistante, elle laisse sa nature de femelle la diriger. Elle se colle à la porte-fenêtre, me tend son cul que le corset met encore plus en valeur. Je jette mon mégot et m’empare de ce cul offert, y glisse un doigt, et plus mon doigt se fait curieux plus elle se cambre. Alors n’y tenant plus, voulant faire d’elle une femelle jusqu’au bout, je m’équipe d’un de mes godes-ceinture. Je ne choisis pas le plus gros, mais il est de belle taille et je sais déjà qu’elle le supporte.
Comme je le lui ai ordonné, elle m’attend allongée sur le lit, le cul légèrement relevé, prête à me recevoir. Un peu de lubrifiant, je passe le gland du gode entre ses fesses, frôle l’entrée, elle frémit et soulève un peu plus son cul. Je souris.
« Demande !
– Prenez-moi Lady
– Mieux que ça !
– Je vous en prie, Lady, prenez-moi !
Le ton y est. Ça, c'est une vraie supplique.
Sous la poussée de mes reins, le cul s’ouvre, accueillant. Clara gémit de plaisir. Je progresse doucement, me retirant un peu pour mieux revenir plus loin.
Elle est à ma merci, elle est à moi, elle est ma petite femelle. J’ai chaud, j’enlève mon bustier. J’accélère la cadence. Je voudrais avoir un de ses godes à réservoir, je voudrais l’inonder de « foutre », qu'elle en soit dégoulinante…
Elle me demande une autre position, et moi j’ai une vilaine crampe dans la cuisse qui me taraude depuis un moment, alors je m’allonge sur le lit et lui ordonne de venir sur moi. Sans même que je n’ai à lui dire, elle se ré-empale sur le gode… Quelle excitation de la voir ainsi, chienne en chaleur…
Ses mains ont des envies baladeuses, elle voudrait se tripoter. Non mais, ça va pas !!! Ne l’oublie pas, tu es une femelle ! Et ce truc, là, qui gigote au rythme de tes mouvements sur ma queue, ne te sers à rien avec moi !
« Même pas en rêve !!! »
Alors elle reprend ses va-et-vient sur la queue de silicone. Je vois son visage transfiguré par le plaisir qui s’intensifie.
J’ai envie d’exploser. Alors je lui ordonne de venir entre mes cuisses, je suis dans un tel état que 2-3 coups de langue suffisent à me faire éclater.
Quel délice d’être la Maîtresse d’une chienne docile prête à satisfaire le moindre de mes désirs, d’être la Maîtresse de mon propre plaisir !
Lady Agnès