:

bouton sondage

Avertissement

13 août 2016

Première présentation de Patou chez Lady (Partie 3/4) - récit de soumis-


<- Partie 2

...

Une soumise, je ne suis rien d’autre. Lady veut me baiser : elle possède mon cul. Lady veut que je sois sa bonne, c,'est normal, légitime. Lady me contrôle, me possède ? Oui c’est mon statut, mon destin, ma place, ma nature, peu importe les termes. Permettez-moi de ramper Lady. De me prosterner. De lécher le sol que Vous foulez.

Une photo à supprimer de *****, évidemment comment n’y ai-je pas pensé plus tôt. C’était irresponsable. Heureusement que Lady est là. Confiance. Elle ne vient pas facilement la confiance quand tu as trop de choses à cacher. Alors rien que ça, un début de confiance qui t’ouvre des horizons te fait respirer un grand coup. Rien à voir avec l'orgasme, pas encore. C’est une récompense qui peut venir naturellement si tu agis en conformité avec ton être, si tu réalises ton désir, destin qui t’est le plus cher.

Le chemin est en forme de spirale. Cette théorie me convainc assez après la lecture il y a quelques années d’une leçon passionnante sur la résistance de l’esclave. Il y a une forme logique de résistance qui apparaît dans le développement d’un esclave. Résultat d’une lutte intérieure entre le moi à qui l’on a appris quel devrait être son rôle dans la société, d’un homme libre, avec tout ce qui est censé aller avec, et le surmoi qui sait bien lui qu’au fond c’est une nature d’esclave voué à la servitude qui l’habite et le comble. Spirale donc, parce que tout progrès dans la réalisation de la nature d'esclave conduit à une réaction d’une ampleur plus ou moins forte selon la nature du privilège du « moi » attaqué par le dressage (ou l'entraînement).

Donc soumis est là, dans cette pénombre, et cette fraîcheur qu’il ressent, douce fraîcheur, agenouillé, et c’est si naturel, rassuré, bercé, calmé, entraîné par la voix de Lady. Elle a un timbre qui claque. Lady peut cravacher de ses mots. Et justement – c’est maintenant je crois, où à peu près, alors que soumis coupée en trois entre ses pensées audacieuses sur la liberté de l’esclave la lutte entre le moi et le surmoi, la sensation nette de sa petite queue qui coule comme une chienne en chaleur, et le vide qui sied à la bonne qu’il aime tant être au fond de lui (comme c’est drôle cela, au fond de lui, pénétrée, délivrée, la bonne des neiges – d’ailleurs Lady n’a-t-Elle pas fait justement remarquer qu’Elle devait s’approprier le nom de soumis, le personnaliser pour Son seul plaisir, que c’est doux à entendre – mais c’est venu après en fait…).

Lady dévoile sa porte des plaisirs. C’est beau. Les chaînes. Les instruments utiles : fouet, martinet, d’autres dont soumis ne sait pas le nom. Ingénieux ce manche à balai que l’on fixe, auquel on fixera les attaches de poignet de soumis qui manque défaillir de plaisir. Ondules du cul stupide soumis, mais elle le bouge son cul soumise dans l’anticipation. Pour son plaisir à elle sans doute, avec vouloir plaire à Lady, séduire Lady. Vous pouvez Lady Vous livrer à ce que bon Vous semble. Tout Vous appartient de cette soumise que Vous avez entravée. C’est quoi ce premier coup ? Tout juste léger sur ce cul de soumise déjà entraînée. Gémir, ça vient logiquement, naturellement, onduler du cul, oui, c’est trop bon.


...

Soyez le premier à écrire un commentaire (quelques règles à respecter)