Mais
il y en eût d’autres ensuite que je pêchais sur minitel. Il y en
avait un magnifique, le dildo transparent me faisait penser à sa
queue, plus épaisse, mais parfaite. Il avait une odeur, sa chair
avait un goût qui me rendait fou. Il arrivait chez moi, s’étendait
sur le canapé, ouvrait sa braguette, et je suçais jusqu’à ce
qu’il gicle. Il devait m’apprécier comme suceuse il est revenu
plusieurs fois.
Il
y eut celui qui essaya de me culbuter sur le capot de ma voiture,
après m’avoir ordonné de l’attendre queue à l’air en pleine
nuit sur un parking. Celui qui me demanda de l’attendre dans un
bosquet d’une forêt juste vêtu d’une culotte que j’avais
« emprunté » à ma compagne de l’époque. Il y eut
celui qui exigea de me voir en robe. Il était dominant, mais doté
d’une toute petite queue, il éjacula entre mes fesses sans qu’il
puisse me pénétrer. Lui aussi aimait cela en forêt. Il y eut cet
acteur porno, doté d’une fort belle queue, le seul dont j’ai
désiré qu’il me baise, mais il eut beau me doigter, me vaseliner,
mon cul refusa de se desserrer. Cette nuit-là je l'ai sucé
plusieurs fois, et il éjacula sur mon visage et dans ma gorge selon
son bon plaisir.
Il
y en eut d’autres, moins notables, d’autres qui voulaient que je
les baise mais je n’en avais aucune intention, en tant que bonne
femelle ma queue ne m’intéressait pas, juste la leur. Il y eut
aussi ce jeune étudiant – je l’avais oublié – qui m’initia
à mes premières séances maso. Il me donnait des coups de ceinture,
j’ai crié de plaisir sous ses doigts. Cette frénésie a duré
quelques mois, un an ? Mais dans ce laps de temps j’en ai
connu au moins plus de 20.
J’aime
sucer les queues. J’aime cette vivacité qu’elles ont, et le
déclic de l’éjaculation. J’aime les toucher, les branler, les
lécher, les avaler, les aspirer, mettre ma langue dans l’urètre.
J’aime le goût, la saveur du foutre. Je suis allé un matin au
bureau ou je travaillais avec l’odeur du foutre dans la bouche du
garçon que je logeais à l’époque chez moi. Nous faisions ménage
à 3 et j’avais pris l’habitude d’assumer le rôle du cocu
suceur et lécheur. Ma copine de l’époque m’avait demandé cela,
j'avais adoré voir la queue la pénétrer, de le sucer avant ou
après, de lécher dans son joli con aussi précis qu’une montre
suisse le foutre qu’il contenait. C’était pour moi la relation
la pus harmonieuse qui fut.
Je
l’ai proposé à mon épouse, dès notre mariage, mais elle rejeta
cette idée. Je voulais qu’elle prenne son plaisir avec d’autres
mâles, j’aurais aimé la voir jouir des coups de reins en elle.
Son corps était magnifique, sa chatte me prenait comme une main.
C’est la seule femme qui fut capable de me faire éjaculer quand
elle le décidait uniquement par ses mouvements pelviens. Dommage
elle n’aimait pas les cunnilingus. Ni que je masse ses pieds que je
rêvais de lécher et de sucer chacun des orteils. J’aurais voulu
être une femelle à ses côtés, mais je ne me le disais pas comme
ça.
Comme
chez Lady samedi j’étais perdu, incapable de faire le point. J’ai
donc cuisiné, ou plutôt j’ai découpé des tomates, fait cuire
des œufs durs, et fait un semblant de sauce. Et nous avons parlé
cuisine ensuite. Un bon moment – tant en longueur (mais pas lassant
au contraire) qu’en plaisir cérébral m’imaginant aux fourneaux
réalisant les désirs de Lady d’un bon petit plat sa soubrette la
servant parfaitement toute excitée de voir Lady prendre plaisir à
la cuisine de patou.
à suivre
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