J’avais
une terrible envie de flageller.
Cela
me prend parfois, comme ça… ça ne s’explique pas… ou plutôt
si… je n’avais pas joué du martinet depuis plusieurs semaines.
Du moins, pas avec l’intensité que j’aime tant.
Le
petit soumis débutant qui venait me voir ces dernières semaines
était du genre douillet, alors il fallait que je me retienne, que je
ne l’abîme pas trop, ni trop vite… mais il y a quelque chose de
frustrant à retenir son bras. Heureusement, j’avais eu l’occasion
de le punir et j’ai aimé voir les marques laissées par ma
cravache.
Mais
même si les punitions sont indispensables, surtout lorsqu’il
s’agit d’une transgression à des règles de sécurité (et dans
ce cas, mon bras devient terrible), ce n’est pas ce que je préfère…
Non,
ce que j’aime c’est la flagellation “plaisir”, celle que
j’inflige uniquement parce que j’en ai envie. Une bonne
flagellation sur un cul qui se trémousse entre douleur et plaisir,
il n’y a rien de meilleur.
J’avais
donc cette envie depuis quelques jours. Mais quand cette envie me
prend, elle est parfois si intense que je sais que je vais avoir la
main lourde. Je contactais donc Clara par mail pour lui parler de
cette envie, espérant vivement que cette femelle que je n’avais eu
entre les mains qu’une seule fois jusque-là, serait suffisamment
courageuse pour avoir envie de me satisfaire. Et ce fut le cas. En
parfaite femelle soumise, elle se porta volontaire, bien décidée à
apprendre à subir mon sadisme.
Elle
est arrivée quelques minutes en avance, ce qui montrait sa
motivation. Généralement, je n’ouvre pas ma porte avant l’heure
dite, quand je dis 19 h, c’est 19 h ni avant ni après…
mais parfois il m’arrive d’être “gentille” et d’encourager
la motivation… je ne l’ai donc laissé attendre que 5 minutes
avant de lui ouvrir.
Sachant
ce que j’allais lui faire endurer, j’ai décidé de retenir mon
impatience et de lui laisser le temps de se glisser dans sa seconde
peau… sa peau de femelle soumise… Pour qu’elle soit endurante,
il fallait qu’elle soit dans le bon état d’esprit.
Changement
de tenue, un peu de service et finalement, le moment venu.
Après
quelques soucis d’intendance avec mon nouveau jouet qui n’ont
fait que rajouter à mon impatience, la voici enfin telle que je la
veux, accrochée à ma porte, jambes entravées.
Quel
délice de la voir ainsi offerte, à ma merci.
La
féminisation lui va à merveille et cela a le don de déclencher
chez moi des envies quasi sauvages… une sorte de voracité, que je
dois retenir pour mieux savourer l’instant.
Je
la caresse, vérifie qu’elle est bien dans l’état dans lequel je
la veux, excitée au possible. Et soudain, d’un geste sec, je
descends sa robe par ses épaules. Son dos est dénudé, juste un
instant avant que le tissu ne s’échoue finalement sur le sol à
ses pieds. Le corset que je lui ai mis lui va à ravir, il met encore
plus en valeur son petit cul si délicieux de femelle. Mes mains le
parcourent, j’en prends toute la mesure.
La
mettre en position d’attente, l’abandonner un instant, m’éloigner
pour faire monter en elle la tension et le temps pour moi de choisir
l’accessoire. J’hésite un instant : le petit paddle en
cuir ? Le grand ? Un de ceux en bois ? Ce sera une
simple brosse à cheveux. Le dos de cette brosse est bien plat et je
sais qu’il n’est pas “trop” terrible.
La féminisation permet en effet de se mettre dans un certains contexte que j'apprécie beaucoup LADY
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