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Vous aviez décidé d’utiliser de nouveaux jouets avec moi ce jour-là. Alors après la cagoule, Vous m’avez installé sur Votre tréteau. Celui que Vous avez aménagé, transformé pour qu’il corresponde à ce que Vous voulez.
Je me suis alors retrouvé allongé sur la barre centrale, les jambes écartées à l’arrière par les pieds du tréteau et les mains vers l’avant. Par les bracelets de cuir que Vous m’aviez mis en même temps que mon collier, je me suis retrouvé attaché aux chaînes qui composent Votre tréteau. Sur l’instant, je me suis inquiété de savoir si je pourrais tenir sur la durée, ma position me donnant l’impression de compresser ma cage thoracique. Cela était parfaitement supportable sur l’instant mais dans la durée que pouvait-il en être ? En fait, cette appréhension a vite disparu, car très rapidement je n’ai plus ressenti aucune gêne. Par contre, au niveau des contraintes, Vous ne souhaitiez pas en rester là. Au contraire.
Je me suis alors retrouvé allongé sur la barre centrale, les jambes écartées à l’arrière par les pieds du tréteau et les mains vers l’avant. Par les bracelets de cuir que Vous m’aviez mis en même temps que mon collier, je me suis retrouvé attaché aux chaînes qui composent Votre tréteau. Sur l’instant, je me suis inquiété de savoir si je pourrais tenir sur la durée, ma position me donnant l’impression de compresser ma cage thoracique. Cela était parfaitement supportable sur l’instant mais dans la durée que pouvait-il en être ? En fait, cette appréhension a vite disparu, car très rapidement je n’ai plus ressenti aucune gêne. Par contre, au niveau des contraintes, Vous ne souhaitiez pas en rester là. Au contraire.
Vous avez sorti des sangles, pour me fixer le thorax à la barre centrale. Deux sangles à cet endroit. Deux autres au niveau de mes jambes pour les fixer chacune sur les barres latérales. Une pour relier mes bras au-dessus des coudes. Et enfin, une dernière avec un anneau sur la partie centrale pour réunir ce dernier à mon collier. Voilà, il ne restait plus qu’à resserrer d’un cran ou deux après Vous être assurée de ma sécurité, et je me retrouvais quasiment totalement immobilisé. Sentir cette immobilisation progresser doucement, ressentir ces sangles qui se resserrent un peu plus au niveau de mon corps, voilà un autre très grand plaisir que je peux avoir. C’est une sensation incroyable de se sentir immobilisé et de plus en plus contraint. Tous ceux qui aiment ce genre de pratique comprennent parfaitement ce que je veux dire, je pense.
Apparemment, j’étais prêt pour la suite. Ah non, un dernier détail. Et pas des moindres. J’avais disposé de la vue jusqu’à présent, j’allais désormais en être privé avec un bandeau qui venait se fixer sur ma cagoule. Vous vouliez que je puisse me concentrer au maximum sur ce qui allait suivre, sachant très bien que me priver d’un sens exacerbe les autres. En tout cas, j’aime toujours aussi intensément ces moments de préparation, qui sont eux-mêmes entrecoupés de mille et un petits plaisirs. Des petits riens comme des effleurements parfois involontaires ou, tout aussi forts mais bien plus volontaires, Vos mains qui glissent le long de mon corps pour m’émoustiller. Comme si je ne l’étais pas déjà suffisamment. Mais, je suis Votre friandise et Vous avez tous les droits sur moi.
Vous avez alors certainement contemplé ce que Vous aviez fait. Avec ce regard d’envie et de joie mêlée. Prendre ce plaisir en pouvant faire ce que Vous souhaitez, sachant que Vous n’abusez jamais tout en abusant de moi. Alors vos mains ont glissé sur ma peau, sur mes fesses. Et puis, à la douce caresse, a succédé une main plus lourde pour chauffer cela. Et rapidement, ce fut un ballet d’accessoires différents. Le martinet, il me semble d’abord. Puis la cravache. Tout cela fait avec passion de Votre part. En appuyant les coups progressivement. En me faisant retrouver la douceur de Vos mains entre deux. Un seul but, faire rougir tout cela et me donner du plaisir comme Vous, Vous prenez du plaisir à me faire subir cela. De toute façon, Vous me savez joueur. Prêt à accepter beaucoup par envie de Vous satisfaire. Car les séances de flagellation ne sont pas nécessairement ma première source de plaisir, même si avec Vous, elles peuvent m’amener à une forme de plaisir, de satisfaction que j’ai de pouvoir répondre à Vos envies. Mais Vous aviez prévu plus. Alors, j’ai goûté de Votre main pour la première fois au paddle. Oh, simplement deux coups au départ, pour me faire découvrir l’engin. Marqués mais pas appuyés, juste pour me faire découvrir la sensation. Puis, Vous avez gagné en intensité tout en me faisant compter les coups. Et pour finir, après que Vous m’ayez demandé si j’étais prêt à aller encore plus loin, Vous m’avez asséné les deux derniers coups. Forts. Appuyés. Piquants. Même si je pense que Vous en avez gardé sous la main. Mais pour moi, pour cette fois, pour cette première fois, Vous ne souhaitiez pas aller plus loin. Chaque chose en son temps et je n’ai pas de doute, qu’une prochaine fois, Vous irez au-delà.
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