Quelque
temps après, me retrouvant de nouveau dans “l’antre” de Lady
Agnès, je remarquais immédiatement cette autre type de cage, dont
la boite était “négligemment” posée à un endroit bien en vue.
L’impact
psychologique fit son effet durant tout le week-end, Lady s’amusant
à me faire l’article de la fameuse cage contenue dans la dite
boite, mais le week-end se déroula de manière, si je puis dire en
regard de l’objet en question, de façon tout à fait normale. À
savoir qu’à aucun moment je ne dus subir une nouvelle restriction
ciblée.
Cependant,
les jours suivants, je dus porter ma CB6000 à quelques reprises sur
des durées définies.
Mais
cette dernière présentait un problème majeur : elle avait
tendance à me blesser le prépuce, notamment lors des tentatives
d’érections, ce qui me poussa à l’analyser de plus près une
fois libéré.
Je
m’aperçus que la jointure des deux coques était plus importante
qu’avant et que celle-ci comportait encore des “résidus” de
lubrifiant séché mal nettoyé. Le simple passage d’un ongle au
niveau de cette jointure eu pour conséquence de me retrouver avec
deux coques désolidarisées dans la main … Mais comme précisé
précédemment, cette cage fut trouvée à prix défiant toute
concurrence sur internet, et bien que la boite ressemblait comme 2
gouttes d’eau à l’originale, ne s’agissait-il pas d’une
contrefaçon ?
Quoi
qu’il en soit, je comprenais mieux du coup mes difficultés à
réussir à la supporter, même sur du moyen terme, et pourquoi elle
blessait mon anatomie.
Lors
de ma visite suivante chez Lady Agnès, la cage en silicone était
toujours à la même place … mais plus dans sa boite, parfaitement
visible cette fois et prête à l’emploi à tous moments !
Ce
modèle était bien plus abordable et permissif pour un néophyte,
car il était entièrement en silicone, cage et cockring compris. Et
à la lumière de mes mauvaises expériences précédentes Lady me
fit comprendre que ce modèle serait idéal pour repartir à zéro
dans l’expérimentation de la cage de chasteté.
Très
rapidement Lady me fit comprendre qu’il me fallait installer cette
prison siliconée dans l’instant. Tout comme la première fois,
avec la cage métallique, Lady m’aida à contrer mes réactions
physiologiques provoquées par une grande attention porté sur la
zone concernée…
La
cage posée et quelques “jeux” plus tard, Lady m’indiqua qu’il
fallait sortir faire quelques courses. Un moment assez marquant car
en plus du port de la cage, il fut décidé de laisser mon collier en
place, caché sous un col roulé et une écharpe bienvenue !
Question
domination on était à un sacré niveau, pour sur, vu la largeur du
collier !
Bref,
rien de bon pour m’aider à soulager la “confusion des sens”
qui se produisait dans cette bogue siliconée, où tous les repères
étaient perturbés : les signes de manifestations d’excitations
primaires étant refoulés et muselés aussi sec dans une
impossibilité totale de s’exprimer librement.
La
sortie en ville se passa néanmoins sans encombres.
Cependant,
je dus faire remarquer à Lady, une fois de retour chez Elle, que
techniquement il y avait un petit problème lié à la relative
souplesse de ce type de cage.
En
effet, l’anneau et ses points de fixations gardent une très grande
flexibilité et, par conséquence, les poussées de croissance du
petit oiseau avaient eu raison des deux axes de guidage de la cage
situé de part et d’autre du point de verrouillage. Du coup, cette
dernière en devenait bien moins agréable à porter une fois
désaxée.
Cependant,
je devais reconnaître à ce modèle un confort bien supérieur à
celui éprouvé avec ma CB6000, l’anneau en silicone étant bien
plus supportable niveau frottement et contact sur la peau. Celui de
la CB6000 avait tendance à générer des pincements et des
échauffements lors de la marche.
Au
moment de se quitter, Lady me fit une “surprise” en m’indiquant
que je devais repartir chez moi avec la cage en silicone dans mes
affaires : “sait-on jamais…" me dit-elle !
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