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17 janvier 2018

Découverte de la cage de chasteté par C. (1/3)





Sur le net, on trouve des témoignages sur le port de la cage de chasteté. Cependant, je me demande toujours quelle est la part de réel et celle de fantasmes dans ces écrits.
Voilà pourquoi j'ai exigé de C., que j'initie progressivement au port de la cage (pour compléter le contrôle total sur sa jouissance que j'exerce déjà sur lui), de faire un texte dans lequel il explique son expérience, sans édulcorer, sans fantasme, juste la réalité !

Lady Agnès


Le BDSM fait partie de mon quotidien depuis bien longtemps maintenant, sans vouloir paraître prétentieux, j’ai une certaine expérience dans un domaine en particulier : les jeux de contraintes que je pratique depuis longtemps maintenant.

Il n’y a pas si longtemps, j’ai franchi le pas des véritables rapports de Domination/soumission, domaine dans lequel je continue naturellement à faire mon expérience.
Jusqu’à présent, je n’avais pratiqué la D/s que par et lors de jeux de courtes durées, et non dans une relation plus poussée comme aujourd’hui.
Et donc, toujours dans cette continuité de découverte et à la “demande” de Lady Agnès, j’en viens à tester une nouvelle pratique : la chasteté imposée via le port d’une cage… domaine où je suis néophyte, ayant simplement connu quelques expériences de port de cage de très courtes durées et ponctuelles.

Partant de ce postulat et étant donc toujours en phase d’apprentissage dans le registre de la D/s … mais n’est-on pas en phase d’apprentissage permanente dans ce domaine ?! … la chose se fit en plusieurs étapes.

La première expérience avec Lady eut lieu sur la durée d’une “séance” cordes qui ne fut pas dénuée de quelques traitements particuliers qui relevèrent et épicèrent cette session.
Pour une première ce fut du sérieux : une cage massive en métal, du genre qui impose sa présence et se rappelle à votre bon souvenir à tous moments. 
Cumulée aux stimulations de Lady, cette cage fut vraiment redoutable et sans pitié. Je découvrais alors réellement et pleinement les sensations de cette prison si redoutable pour l’appendice masculin.
J’avais beau avoir déjà goûté aux sensations d’une CB6000 en plastique (cage acheté à pas cher sur un site qui a pignon sur rue… ce détail aura son importance, comme expliqué plus tard), les sensations éprouvées ce fameux jour auront été marquantes.
Malgré le fait d’être attaché de manière contraignante, malgré le port de ce large collier en cuir, malgré le fait de subir des tourments que je tairais et tous les autres types de privations de toutes sortes … il y avait surtout cette restriction totale et sans concession qui n’offrait aucune once de liberté ou de répit : cette fameuse cage de chasteté en métal ! Mon sexe essaya malgré tout de s’exprimer autant qu’il put : soulevant de rage au maximum qu’il le pouvait cet intrus castrateur, laissant couler abondamment ses larmes, rien n’y fit, il resta sous une emprise totale et impitoyable.
Tout mon corps était pourtant entravé de manière stricte, mais toute mon attention semblait portée sur la contrainte exercée par ce “simple accessoire”, achevant toutes mes tentatives de quelconques rébellions. La domination de Lady Agnès sur ma personne était totale, Elle me menait à (ou par) la baguette, dans un état de total soumission !
La séance finit Lady, me libéra de cette prison d’acier redoutable à mon grand soulagement.
Je ressentais cette sensation étrange de plaisir intense mêlé à une grande frustration. Le cerveau avait pris sa dose d’endorphine, certes, mais le “physique” restait sur sa faim … mais néanmoins soulagé !
Cette première expérience fut brève mais assez intense.
Comme discuté après coup avec Lady, il est évident que le port de cette cage ne peut s’envisager que sur une courte période vue son poids. Mais je reconnus tout de même sa très grande efficacité et la puissance de son impact psychologique et physiologique.



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