En ce moment, je suis très occupée (et aussi quelques soucis de santé) d'où un certain calme sur ce blog, mais je ne vous oublie pas et je prépare quelques petites choses pour Juin.
En attendant, je vous mets une vidéo qui vous éclairera sur un nouveau plaisir que j'étudie et que j'ajoute à mes jeux.
Et comme je sais qu'il faut apprendre à marcher avant de courir, je me contente pour le moment de la version au sol.
En attendant, je vous mets une vidéo qui vous éclairera sur un nouveau plaisir que j'étudie et que j'ajoute à mes jeux.
Et comme je sais qu'il faut apprendre à marcher avant de courir, je me contente pour le moment de la version au sol.
Lady Agnès
Bonjour,
RépondreSupprimerJ'espère que vos problèmes de santé ne sont pas trop graves et vont se résoudre rapidement. Bon courage !
Ce petit teaser me laisse dans un curieux état, j'ai hâte d'en savoir plus :)
Bonjour Lady Agnès. J'aime assez cette vidéo bien que n'ayant jamais testé le Shibari.
RépondreSupprimerJe me joins au précédent message pour vous souhaiter une meilleure santé.
D'autre part je n'ai pas eu les résultats du concours auquel j'ai participé. Sont-ils visibles quelque part ?
Bien à vous. Malcom
Ton texte ayant été de piètre qualité je ne l'ai pas intégré dans les textes soumis à vote.
SupprimerLe résultat est indiqué en commentaire de l'article "concours: lisez et votez".
Bonjour Lady Agnès,
RépondreSupprimerExcellente petite vidéo ! Merci beaucoup.
J'aime beaucoup l'état d'esprit de cette "shibariste", ainsi que la tête du journaliste en toute fin et ses marques^^.
Pour avoir servi de cobaye une unique fois, je confirme que la douleur est le tout premier message que le cerveau nous renvoie lorsque l'on est ainsi ligoté. Ce n'est en fait que de la crainte plus qu'autre chose. Car très rapidement une vague très singulière de bien être nous submerge : abandon totale, subspace, contraintes érogènes...
Au point que l'on en vient à regretter la libération du corps ! ^^
Nul doute vous connaissant que vous maîtriserez assez vite les bases de cet art Lady Agnès.
Bien à vous,
Prégador